Pourquoi repartir?
Nous sommes deux jeunes trentenaires avec de grands besoins d'évasion. Depuis l'année 2006 nous rêvons de voyages, de découvertes, de rencontres. Nous vivons notre quotidien avec en permanence ces envies de départ en toile de fond, comme une brume qui baignerait continuellement nos pensées. Nos expériences passées expliquent sans doute ce penchant pour l'itinérance...
Pour Mélanie, passionnée de chevaux depuis toujours, la Mongolie, son peuple de cavaliers et sa culture équestre représentait un véritable Eldorado. Romain, quant à lui, avait déjà eu une première expérience très enrichissante en Asie centrale lors d'une précédente expédition d'alpinisme au Kirghizstan. L'idée de retourner ensemble en Haute-Asie était donc acquise. Partir, donc... Mais partir 3 mois nous apparaissait comme un projet tronqué, un embryon de voyage, à peine partis que nous aurions été déjà revenus. C'est Romain et sa passion des montagnes qui a évoqué l'idée de poursuivre en nous rapprochant de l'Himalaya puis en traversant le Tibet et le Népal. Ce n'est que par la suite que les moyens de transport se sont imposés: le cheval en Mongolie, puis le vélo pour rejoindre et traverser la plus haute chaine de montagnes au monde et enfin à pied pour y faire une incursion: nous voulions prendre le temps de vivre pleinement nos 8 mois d'itinérance. Nous n'étions expérimentés, ni en voyage à cheval, ni en voyage à vélo, mais l'envie était née et a fait le reste. Une longue période de préparation a été nécessaire pour le choix de notre matériel, pour l'apprentissage de certaines techniques mais surtout pour aiguiser nos motivations qui, nous le savions, nous permettraient de faire face, ensuite sur le terrain, aux situations difficiles.
Nous en sommes revenus pas tout à fait comme avant... mais surtout avec l'idée en tête que c'était possible.
En Mongolie, nous avons pâtit de l'inertie d'une caravane de 3 chevaux (deux de selle et un de bât) alors qu'au Tibet, nous étions plus rapides avec nos vélos, mais frustrés de devoir nous contenter de routes ou de grandes pistes pour pouvoir progresser. Quant au Népal où nous avons évolué à pied, nous étions dépendants pour notre nourriture et notre logement des possibilités qui s'offraient à nous. Bref, aucune des solutions choisies ne nous est apparues, à postériori, comme étant idéale.
Mais l'envie de repartir s'est vite fait ressentir. Le Tibet a été comme une évidence tant nous avons été fascinés par cette région de monde, et ses habitants. Nous repartirons donc, à pied cette fois-ci avec un cheval de bât, au Tibet.
Pour Mélanie, passionnée de chevaux depuis toujours, la Mongolie, son peuple de cavaliers et sa culture équestre représentait un véritable Eldorado. Romain, quant à lui, avait déjà eu une première expérience très enrichissante en Asie centrale lors d'une précédente expédition d'alpinisme au Kirghizstan. L'idée de retourner ensemble en Haute-Asie était donc acquise. Partir, donc... Mais partir 3 mois nous apparaissait comme un projet tronqué, un embryon de voyage, à peine partis que nous aurions été déjà revenus. C'est Romain et sa passion des montagnes qui a évoqué l'idée de poursuivre en nous rapprochant de l'Himalaya puis en traversant le Tibet et le Népal. Ce n'est que par la suite que les moyens de transport se sont imposés: le cheval en Mongolie, puis le vélo pour rejoindre et traverser la plus haute chaine de montagnes au monde et enfin à pied pour y faire une incursion: nous voulions prendre le temps de vivre pleinement nos 8 mois d'itinérance. Nous n'étions expérimentés, ni en voyage à cheval, ni en voyage à vélo, mais l'envie était née et a fait le reste. Une longue période de préparation a été nécessaire pour le choix de notre matériel, pour l'apprentissage de certaines techniques mais surtout pour aiguiser nos motivations qui, nous le savions, nous permettraient de faire face, ensuite sur le terrain, aux situations difficiles.
Nous en sommes revenus pas tout à fait comme avant... mais surtout avec l'idée en tête que c'était possible.
En Mongolie, nous avons pâtit de l'inertie d'une caravane de 3 chevaux (deux de selle et un de bât) alors qu'au Tibet, nous étions plus rapides avec nos vélos, mais frustrés de devoir nous contenter de routes ou de grandes pistes pour pouvoir progresser. Quant au Népal où nous avons évolué à pied, nous étions dépendants pour notre nourriture et notre logement des possibilités qui s'offraient à nous. Bref, aucune des solutions choisies ne nous est apparues, à postériori, comme étant idéale.
Mais l'envie de repartir s'est vite fait ressentir. Le Tibet a été comme une évidence tant nous avons été fascinés par cette région de monde, et ses habitants. Nous repartirons donc, à pied cette fois-ci avec un cheval de bât, au Tibet.
1 commentaires:
Bravo pour votre projet ! Serait il possible d'afficher sur votre blog une carte du parcours que vous souhaitez suivre ?
@+
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