Le choix du bât
Ci dessous des photos qui montrent le type de sac que nous avons déjà utilisé en Mongolie sur notre précédent bât à croisillon, ainsi que l'avaloire et la bricole que nous avions fabriqués.
Égrener les kilomètres comme les perles d'un Mala pour aller à la rencontre de l'autre et de soi.
Un de nos soucis majeurs dans l'organisation de notre voyage reste l'anticipation des problèmes liés à l'usure des pieds de notre animal de bât, si important pour nous puisqu'il sera le garant de notre autonomie alimentaire sur plusieurs semaines dans des zones semi-désertiques (les Chang Tang au Tibet) où les rencontres seront probablement inexistantes.
Au cours de notre précédent voyage, en Mongolie, nous avons pu constater l'usure prononcée des sabots de nos chevaux (en particulier ceux de notre cheval de bât) après 1200 km effectués sans fer ni hippo-sandale: il était net que leurs pieds étaient douloureux dès que le terrain devenait sec et caillouteux. Il était temps que notre chevauchée s'arrête pour leur permettre de refaire de la corne.
Au Tibet, nous ne pourrons raisonnablement pas compter sur d'éventuels maréchaux-ferrants: comme en Mongolie, le ferrage des chevaux ne fait pas (ou peu) partie de leur habitudes. Au mieux, nous trouverons des ânes ou des mules à acheter à Yécheng qui seront ferrées puisque nous serons encore en pays Ouïgour où les traditions ne sont pas les mêmes. Il est très peu probable que nous puissions les faire referrer par la suite.
Plusieurs options s'offrent à nous:
A propos du Tibet de l'ouest et des Chang Tang en particulier:
Sur le voyage au long cours:
Pour vous donner un aperçu de ce qui nous donne envie d'aller y faire un tour...
Magnifiques photos de Wal+ (Mountainbike Expedition) sur le site de panoramio et leurs vidéos sur youtube.
Lire la suite...
If you would like to register your own free embeddable guestbook, please click here.
© Blogger templates ProBlogger Template by Ourblogtemplates.com 2008
Back to TOP